un article rédigé d'un vrai auteur sur son accueil à Strasbourg et le projet ou il travaillera!
simplement lit le texte stp!
Hey und willkommen bei meinem Blog!
C'est évidemment que je suis allemand: j'ai des yeux bleues, des cheveux blondes et une moyenne taille de 181,64 cm. Mais quand même je me retrouve à Strasbourg. Comment ça pouvait arriver? C'est simple: J'aime la France et sa culture, j'aime les gens qui vivent là-bas, j'aime les baguettes, etc. La liste pourrait continuer jusqu'à la lune et la prochaine galaxie. Il n'y a pas des mots pour décrire ce que je pense sur la France... En revanche j'ai reçu des mauvais yeux en Allemagne. Eh bien, je m'en fous.
J'aimerais être plus français qu'allemand s’il n’y avait pas ma nationalité originale et mon accent allemand très fort que m'empêche de vivre le rêve français. Oui franchement ça me dérange que tout le monde me corrige quand je dis [bonsoirrr] au lieu de [bonsoir]. (Je régulièrement échoue de faire un <<r>> laquelle est plus mou que mon lit dans mon gîte). Par contre c'est pas mal pour apprendre le français. Et ça c'est la raison pour laquelle j'y suis!
À propos ici, jusqu'à maintenant j'utilisais souvent ce petit mot, mais en fait j'ai rien expliqué ce que je fais exactement en France.
Dans le cadre d'un Service volontaire européen je bosse dans le foyer de l'enfance à Strasbourg pour une année à partir de septembre 2018. Le premier mois est bien passé et également très vite. Au sein de la ville j'habite seul dans un petit appartement et je profite bien d'un bon regard sur la populaire cathédrale de Strasbourg, qu’on peut distinguer par ma fenêtre. Immédiatement à côté de mon appartement on y trouve des bars aussitôt que des boîtes. Bien sûr suis-je pas seule à Strasbourg, heureusement connais-je des gens géniaux à cause d’un séminaire de l'organisation ICE-Réseau Francophone qui a son siège à Niederbronn-les-Bains, un petit village en Alsace. Dernièrement j'ai fait également la connaissance d'une fille allemande qui travaille à Mulhouse et qui me fait lui penser toujours. Qui sais comment ça s'évolue...
Voilà, manifestement il ne manque pas des moments forts ensemble et je suis convaincu, que ça continue jusqu' à la fin de cette temps incroyable à l'étranger. Forcément suis-je venu à Strasbourg pour travailler, et cela je fais cinq jours la semaine dans le foyer avec des gamins plus au moins éprouvants aussi bien aimables. On a déjà fait connaissance des trucs marrants et tristes comme aujourd'hui (09/10) par exemple, quand j'ai vu un gamin sur son vélo qu’a pleuré parce que un autre à insulter sa mère qui décédée récemment. On vit des moments très touchants, mais parfois je me demande pourquoi j'ai choisi ce travail. Il est quand même fatiguant et il faut rester disponible attentivement toujours et partout pour gérer toutes les situations. C'est pourquoi on doit trouver un contrepôle. En mon cas c'est faire du sport. À athlétisme j'ai déjà rencontré des personnes carrément gênés comme moi, auxquels je me peux ouvrir dans ma propre manière. C'est idéal si on trouve des autres au sport même si tu comprends juste la moitié en s'entraînant parmi tous le halètement et des expressions que t'as jamais entendu. Mais à l'identique les français profitent bien de découvrir l'immensité de la langue allemande. Ainsi ça pourrait désormais arriver qu'on rencontre des strasbourgeois qui disent "Diggah muss los", une expression allemande qui désigne que t'as terminé avec une situation ou précisément t'en as marre de tout et tu veux partir. Bien sûr celle-ci est du verlan.
Je suis en train d'oublier toutes mes habitudes allemandes, et quand même, même si on habite juste cinq kilomètre loin de la frontière, c'est facile. La culture est complètement différente, mais dans quelques coins on remarque l'ancienne influence allemande. Je trouve personnellement qu'on peut adapter tellement vite à la culture et sans problèmes on se peut mêler aux inhabités. C'est pourquoi j'ai commencé de traverser la rue si le feu est que rouge et d'acheter l'alcool en Allemagne. Je pense à force n'importe quand on pourrait avoir réussi, mais d'abord j'ai besoin d'assimiler tout ce qu'est passé le dernière mois et de manger plus de Coq au vin et de Crème brûlée.
À plus, reste captivé!